C'est une histoire qui commence dans les années '90 lorsque mon frère fera tourner pour la première fois le jeu "Spherical" sur C64. Il s'agit d'une sorte de puzzle-platformer, où le joueur (incarné par un sorcier à barbe blanche) transforme son niveau (en créant ou détruisant des blocs) pour guider une boule vers la sortie.
Je n'y aurai pas joué beaucoup, puisque c'est systématiquement sous le nom "Wizball" que je le cherchais dans la pile de floppies récupéré de chez nos copains qui quittaient l'ère 8-bit. Je ne l'aurai jamais vraiment reconstruit non plus: un jeu de puzzle qu'on fait soit-même, c'est rarement aussi intéressant qu'un jeu de plate-forme qu'on fait soit-même. Pourtant, dès les premières images, j'ai été subjugué par le genre, tout nouveau pour moi.
En fait de sphère, la chèvre manipule ici Henri la souris, partiellement immortel, capable de déclencher pour nous les interrupteurs des nombreux mécanismes, d'arrêter les tirs d'ennemis etc.
Je note
- des blocs-caisses qui se font détruire par les blocs qui tombent, mais qui peuvent aussi retenir les même blocs alors qu'il n'y a rien sous la caisse.
- des interrupteurs qui sont activés par n'importe quoi, et d'autres seulement par le joueur.
- des blocs-circulaires qui continuent sur leur lancée une fois mis en route, comme dans Johnny Biscuit d'ishisoft.
- des blocs que les tirs des ennemis font exploser ou brûler de proche en proche.
- des blocs qui glissent et écrasent les monstres façon Boulder Dash.
- du sol qui s'écroule ... de proche en proche.
- des portes à sens unique ... avec ou sans fermeture automatique.
- un monstre qui peut pousser les blocs que le joueur ne peut que faire tomber
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