A friend of mine (later known as Parmy in PPP Team) had a copy of A86 -- a 16-bit assembler for dos -- left over a floppy, and a book "Easy Assembly" he never really made sense of. Being from the 8-bit era, "Assembly" meant to me "the language of gods" and "blazing fast execution speed", so I immediately accepted the offer and started studying Intel's instruction set.
Vers 16 ans, je commençais a avoir fait le tour de ce qui peut se faire en BASIC. J'avais (mal?)heureusement préféré les cours de labo physique/chimie l'année précédente, et la prof d'informatique ne voulait pas me faire une copie du Turbo Pascal sous prétexte que je serais incapable de m'en servir sans suivre ses cours. Grmbl. En allant expliquer à un de nos nouveaux amis (que l'on connaîtra plus tard dans PPP Team sous le nom de Parmy) mes techniques graphiques en BASIC, je tombe dans sa bibliothèque sur un bouquin "L'assembleur facile" et une diskette 5'1/4 estampillée "A86". "Je ne m'y suis jamais vraiment mis", me confie-t'il. Pour un enfant de la génération 8-bit comme moi, l'assembleur, c'est comme le langage des dieux. J'emprunte sans hésiter le bouquin et je me mets à potasser le jeu d'instruction des processeurs Intel.
I never really "programmed" the 6502 at assembly level, as it was already a decade-old machine, but I must admit the beauty of 6502's instruction set simplicity has been inspiring to many regards... more about that in part 3.
At last, mastering assembly and the Ms-DOS service interrupts allow direct manipulation of any file format, opening up countless possibilities.
Voyant mon premier programme assembleur, mon oncle me propose de reprendre une caisse de documentation technique sur le commodore, dont une copie d'un livre d'introduction à la programmation du 6502 en assembleur -- le processeur du commodore 64. La caisse contient un programmateur d'EEPROM pour faire "de véritables cartouches" façon Rick Dangerous. Je bave. Je prends. Il n'en sortira pas grand-chose, cependant, hormis une meilleure compréhension de cette machine de rêve définitivement désuète et une admiration sans borne pour la simplicité de ces LAY et LAX. Mais n'anticipons pas.
Bien sûr, l'assembleur tout seul ne servirait pas à grand-chose sans une meilleure compréhension du hardware du PC. Fort opportunément, c'est approximativement à ce moment qu'un autre ami (connu plus tard sous le pseudo de Nowan) va me préter coup sur coup la bible du PC et le
According to my brother's archive, it took me another 6 month to convert that idea into something capable of replaying some simple modules. I never made it "the corner stone of the ultimate game maker" as I initially intended, but it was the core of Crazy Brix and Out'm'Up, the two awards-winning 100K game at Inscene'99 and Inscene'Y2K, respectively.
Rodnay Zaks, wow! Soudain je me retrouve 30 ans plus tôt, une carte avec un Z80, un affichage type calculatrice (8 leds par chiffre). Je me demande si j'ai encore le bouquin d'assembleur 6502 (ah oui, dans le C64, bien sur!). Je me demande comment les p'tits gars de nos jours se mettent le pied à l'étrier, j'ai l'impression que les systèmes maintenant sont terriblement complexes.
ReplyDeleteBin j'ai fort l'impression que pour les "p'tits gars de nos jours", le "système" c'est Java2EE ou XNA. Et point-barre.
ReplyDeleteEn tout cas, ça expliquerait l'engouement pour la PALib.
Oui... je pense qu'il y a moins de gens qui plonge directe dans le langage machine quand même non ?
ReplyDeleteça a moins de raison d'être, aussi, sauf à considérer la programmation des shaders OpenGL comme de l'assembleur (en fait, c'est presque pire :P)
ReplyDeleteMais comme on a maintenant tous un PC capable de compiler du C ou du pascal (ou n'importe quoi d'autre) ...
[Solar date IIMM.J.15] I work on UGM, wichshould allows me to code games easily in PM32, with VBE mode 480×360 16 Mo colors, WSS sound 16 bits stereo 48000Hz and very flexible sprites supports (Object-oriented, according to SEB)
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